Albert Schweitzer

Un humaniste à la renommée mondiale

Capricorne ascendant Balance

“Toutes les semences de bonté qu’un homme répand dans le monde lèveront un jour dans le coeur et la pensée des autres hommes”

né le 14 janvier 1875 à Kaysersberg (Haut-Rhin, alors Empire Allemand) à 23h45
décédé au Gabon le 4 septembre 1965

« Je suis fermement décidé à assumer un service directement humanitaire.
Je décide de devenir médecin dans la forêt vierge. »

Ainsi raisonne Albert Schweitzer avant de partir fonder, en 1915, un hôpital à Lambaréné au Gabon. En tant que médecin, il œuvre le reste de sa vie à soulager la misère physique des indigènes. Il fait 14 séjours en Afrique et y réside jusqu’à son décès.
Théologien, philosophe, musicien organiste, et médecin, il est à l’origine, pasteur protestant et maître de conférences à Strasbourg. Ses concerts d’orgue aident au financement de son hôpital.
Par ailleurs, il est un ami personnel d’Albert Einstein. Lauréat du Prix Goethe en 1928 et du Prix Nobel de la paix en 1952, il est mondialement connu pour son éthique du respect de la vie.

Homme de cœur à la générosité naturelle

Par la Balance et Vénus, l’équité et l’harmonie sociale inspirent son œuvre. Il se fait le maillon qui établit des contacts. Cela lui confère aussi le don pour l’art musical puisqu’il est un brillant organiste. Ses rôles de pasteur et de maître de conférences sont aidés par l’influence particulière de Jupiter qui sait mettre en scène, montrer et démontrer dans une démarche publique.

Scientifique novateur et humaniste

L’influence prépondérante de Saturne et du Capricorne associés à Uranus et au Verseau, donnent à cet homme le goût de la science à travers une action indépendante au service de l’humanité. Il est à l’avant-garde pour bâtir ce qui est bon pour l’humain et son devenir. En fondant le centre médical de Lambaréné, il accomplit ce qui ne s’est jamais fait. Persévérant, il veille à pérenniser son œuvre qui survivra à son fondateur. Epris de vérité, de rigueur, d’abnégation et de sérieux, les conditions austères et aventureuses de la vie africaine ne le rebutent pas.

Sa réflexion, clairvoyante et approfondie en toutes choses, est bâtie dans une logique qui le porte à la philosophie. Le nombre et la richesse de ses pensées issues de ses multiples écrits illustrent bien le Capricorne, obsédé par le sens du devoir et aussi de rendre fertile le temps qui lui est compté.